Les dessous de l’astringence

Des chercheurs d’INRAE, du CNRS et de l’Université de Bourgogne se sont intéressés aux mécanismes moléculaires impliqués dans cette sensation. Leurs travaux, parus le 8 mars dans la revue Journal of Agricultural and Food Chemistry, proposent une nouvelle hypothèse basée sur le rôle de la protéine MUC1, présente à la surface des cellules de la muqueuse orale.